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Livio Rossetti  
Bibliografia 1971/75

1971
1 – Recenti sviluppi della questione socratica
«Proteus» [Roma] II.6, 161-187 [cf. 47] -- testo dell'articolo, I parte - testo dell'articolo, II parte
On s'est à tort limité jusqu'ici, pour l'étude de Socrate, aux témoignages traditionnels. Il y a en fait de nombreuses sources mineures et sérieuses dont il faut tenir compte. Les recueils de J. Ferguson (cf. APh XLIII 289) et de G. Giannantoni (cf. APh XLIV 280) en font état. L'Année Philologique XLVI (1975), p. 297

1973
2 – Platone biografo di Socrate: un riesame
«Proteus» [Roma] IV.12, 63-101
Le portrait platonicien du philosophe, loin d'être le portrait d'un homme sans emploi qui consacre tout son temps au dialohue avec autrui, est celui d'un sophiste qui a des élèves réguliers, qui refuse néanmoins toute rétribution et qui, puor étabilir des liens solides avec ses élèves, bâtit une véritable hétairie, allant jusqu'à organiser des syssitia avec eux. Professeur, il dissimule sa fonction. Le Socrate platonicien se rapproche donc de celui des Nuées plus qu'on ne le reconnaît d'ordinaire. L'Année Philologique XLVI (1975), p. 258

3 – ‘Socratica’ in Fedone di Elide
«Studi Urbinati» [Urbino] n.s. B, XLVII 364-381
Examen des témoignages que nous possédons sur Phédon et des fragments qu'il est possible de reconstituer, pour montrer que Phédon a une personnalité bien définie se réflétant dans la représentation qu'il donne de l'oeuvre de Socrate et de sa signification. L'Année Philologique XLV (1974), p. 224

1974
4 – Spuren einiger Erotikoi Logoi aus der Zeit Platons
«Eranos» [Stockholm] LXXII 185-192
Plutarque, De lib. educ. 15 fait allusion à quelques écrits socratiques dont nous n'avons pas connaissance par ailleurs: un écrit érotique dont Cébès serait l'auteur ou pour le moins le protagoniste, un ou plusieurs Alcibiade anonymes. Libanius, De Socr. silentio 25, nous permet d'affirmer l'existence d'un Banquet qui était censé avoir lieu dans la maison de Damon. L'Année Philologique XLVI (1975), p. 297

5 – Le Nuvole di Aristofane: perché furono una commedia e non una farsa?
«Rivista di cultura classica e medievale» [Roma] XVI 131-136 -- testo dell'articolo
Si Aristophane n'a pas voulu donner aux Nuées un caractère de farce en insistant sur l'aspect commercial du Phrontisterion, c'est précisément parce qu'il entendait donner de l'école de Socrate une image relativement conforme à la réalité. En fait, le dépouillement matériel dans lequel vivaient le maire et ses disciples et le caractère dialectique de l'enseignement ne se rencontrent dans aucune des institution comparables des sophistes. L'Année Philologique XVI (1974), p. 30

6 – Alla ricerca dei logoi Sokratikoi perduti
«Rivista di Studi Classici» [Torino] XXII 424-438 -- testo dell'articolo
De nombreux auteurs, dont le plus ancien est Cicéron, font état de l'enkrateia de Socrate, de l'expression toujours égale de son visage. Ce détail semble provenir d'un écrit d'Antisthène qui a peut-être aussi influencé Platon, Banquet 175AB et 220CD, ainsi que Plutarque, De cohib. ira 4,455A. Le récit de Diodore XIV,5 évoquant la tentative de Socrate et de deux hetairoi de liberer Théramène en 404 relate sans doute un fait historique; le silence de Xénophon ne prouve pas le contraire. Le ton apologétique, contraire au style de Diodore, permet de supposer que l'épisode est emprunté à un logos Sokratikos. On peut affirmer, en plus, que Socrate et Théramène étaient unis par les liens d'une hétarie. L'Année Philologique XLVII (1976), p. 304 (cf. Brisson, Platon 1975-80, n° 4293)

7 – Therapeia in the Minor Socratics
«Theta-Pi (A Journal for Greek and Early Christian Philosophy)» [Leiden] III 145-157
Textes sur cette notion, en dehors des textes de Platon et de Xénophon, afin d'en préciser l'origine. L'Année Philologique XLVI (1975), p. 783

8 – Due momenti della polemica tra Policrate e i Socratici all’inizio del IV secolo a.C.
«Rivista di cultura classica e medievale» [Roma] XVI 289-298 -- testo dell'articolo

Libanios, dans l'Apol. Socr. 62, refuse l'accusation de Polycrate d'après laquelle Socrate aurait volontairement déformé et ridiculisé Hésiode, Op. 311. Ce passage de Libanios semble s'inspirer d'un Sokratikos logos de la période allant de 308 à 393; on peut penser à Antisthène. - La première moitié de Xén., Mem. I,2,19 renferme un fragment important de la Kategoria Sokratous de Polycrate. L'Année Philologique XLVI (1975), p. 276

9 – Socrate e il ruolo della dissimulazione nel processo educativo
«Pedagogia e Vita» [Brescia] XXXVI 41-59
Socrate essaya délibérément de dissimuler son état professionel de sophiste et de cacher la structure démonstrative et élenchétique de ses « discours brefs ». Il allait jusqu'à professer de ne pas didaskein: de suzetein. Il avait en vue d'influencer et de modifier le comportement de ses élèves; et pour détruire bien des convictions étabilies, il était plus facile de dissimuler. Mais le philosophe risqua bien souvent de devenir un prêcheur. L'Année Philologique XLVI (1975), p. 297

10 – Le aporie di Parmenide
«Logos» [Napoli] s.n. 171-176
Parménide part de deux prémisses: ce qui unit n'est jamais identique à ce qui distingue; dans un discours qui a pour objet la totalité, à côté de ce qui est, à côté du facteur de présence ou d'existence pris comme denominateur commun de toute l'expérience, de la totalité, on ne peut rien postuler d'autre qu'un rien entendu comme une pure absence inconditionnée, inerte et inactive. Partant de là, seul le rien peut assumer les fonctions de différenciation des étants à l'intérieur de l'être. Parménide n'a pas cherché à sortir de cette impasse. L'Année Philologique XLVIII (1976), p. 234
Il est simpliste de persister à dire que Parménide passé, de façon illégitime, de l’ordre logique à l’ordre ontologique. Il convient plutôt d’examiner pour elles-mêmes les prémisses logiques sur lesquelles l’Eléate fonde la «voie de vérité» et celle de la doxa. Rossetti dégage ces prémisses et en analyse les implications. Les Présocratiques: Bibliogr. anal. (1879-1980), n° 2854

1975
11 – Alla ricerca dei logoi Sokratikoi perduti (II)
«Rivista di Studi Classici» [Torino] XXIII 87-99 -- testo dell'articolo
Le peu que nous savons de l'Apologie de Socrate de Lysias amène à croire que cet écrit, rédigé peu aprés 393 en réponse au pamphlet de Polycrate, avait un caractère logographique et faisait état ouvertement des dissensions au sein même du groupe socratique. Lysias est le seul aussi à évoquer les implications politiques de l'enseignement de Socrate. L'Année Philologique XLVIII (1977), p. 302

12 – Platone e la tradizione filosofica preplatonica
«Atti dell’Accademia di Scienze Morali e Politiche» [Napoli] LXXXV 180-197
Étude partant des hypothèses avancées par S. Zeppi (cf. Philosophie) sur le début de l'Hippias maior et de A. Capizzi (cf. APh XLIII 242) sur l'importance des formules itératives toutes les fois que le Socrate platonicien se rapproche du Socrate historique. Il est impossible de déceler chez Platon une méthode ou une évolution dans la façon, très désinvolte parfois et assez libre toujours, de traiter les textes philosophiques. L'Année Philologique XLVI (1975), p. 258

13 – Tracce di un logos Sokratikos alternativo al Critone e al Fedone platonici
«Atene e Roma» [Firenze] n.s. XX 34-43
Plusieurs passages de l'Apologie de Xénophon, de Diogène Laërce et d'autres auteurs amènent à penser qu'il existait un écrit, rédigé avant 370, qui rendait compte des derniers jours de Socrate d'une façon moins brillante, mais plus fidèle que le Criton et le Phédon. Ce texte, qu'il faut probablement identifier à l'Eschine d'Euclide, nous présente un Socrate différent du Socrate platonicien, notamment en ce qui concerne sa réaction à la proposition de fuite. L'Année Philologique XLVI (1975), p. 279

14 – Alla ricerca dei logoi Sokratikoi perduti (III)
«Rivista di Studi Classici» [Torino] XXIII 361-381 -- testo dell'articolo
Antisthène est l'auteur d'un dialogue socratique dont des échos nous sont parvenus dans Xén. Mem I,3,8-13. Dans cet ècrit, il ménagea une large place à l'amitié particulière qui lia Socrate et Xénophon. Mais il ne s'agit pas du Xènophon auteur des Mémorables, mais d'un homonyme, son ainé de 30 and environ et auteur de l'Atheniensium respublica. Cela explique aussi le fait qu'une partie de la tradition donne une date anormalement haute pour l'akmé de Xénophon. L'Année Philologique XLVIII (1977), p. 302






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